Des milliers de portraits. C’est ce qu’il faudrait faire. Des milliers – et ce serait encore terriblement insuffisant.
Des milliers de portraits pour commencer la galerie des portraits du Cambodge, pour tenter de rendre compte d’une parcelle minuscule de ce qu’on y voit. Parce que Phnom Penh est d’une richesse et d’une générosité rares. Ou alors parce qu’il est plus facile d’ouvrir les yeux lorsqu’on n’est pas chez soi.
Il faudrait faire le portrait de chaque visage, de chaque personne, de chaque propos, de chaque feuille de palmier. Évidemment c’est impossible mais comment ne pas tenter, ici et ailleurs, de commencer l’ouvrage ?
Il est un autre portrait impossible à brosser : Lire la suite